Pour optimiser la méthode de production d’hydrogène dit "solaire", un carburant propre et renouvelable, une équipe de l'Institut des Nanotechnologies de Lyon (INL) explore les propriétés physiques des nanofils : des structures nanométriques.
Intermittentes, coûteuses, dépendantes des conditions météorologiques, consommatrices d’espaces naturels… Alors que le déploiement des énergies renouvelables est un enjeu fort de développement durable, les critiques qui leur sont faites sont encore nombreuses. Pour répondre à ces défis, les scientifiques travaillent à consolider les technologies de production d’énergie décarbonée et à accélérer leur développement.
Dans cette perspective, l'équipe de José Penuelas, enseignant-chercheur à l’INL/Centrale Lyon s'est fixé pour objectif d’optimiser la méthode de production d’hydrogène dit « solaire », un carburant propre et renouvelable grâce à l’adjonction de structures nanométriques : les nanofils.
Explications le nouveau billet du blog « Focus Sciences » du CNRS.